Difcuffion de la troifieme: Du droit de fabriquer un Gouvernement pour nous-mêmes. Démonftration par le fait , par les ftatuts & par les actes déclaratoires paffés par tous les Souverains à leur avénement au Trône , que ce droit n'existe pas; que l'hérédité eft regardée en Angleterre comme la fauve-garde la plus inviolable des droits des citoyens. Le Gouvernement Anglois modelé fur la nature. 57 Ce qu'auroit pu faire la France; parti qu'elle auroit pu tirer de fon ancienne Conftitution. Ce qu'elle a mieux aimé faire. Caufe de ce qui est arrivé. Compofition du Tiers Etat. Chambre des Communes, comment compofée. Compofition du Clergé. Compofition de la Nobleffe. 66 75 77 78 86 89 91 Révolution actuelle, plus fàcheufe que toutes celles que la France a éprouvées jufqu'à préfent. Pourquoi ? 94 Égalité parmi les hommes, apppéciée comme elle doit l'être. 97 Ce que doit être la repréfentation dans un Etat. Diftinction entre les talens confidérés comme principe actif & entreprenant; & la propriété confidérée comme un principe pareffeux & inerte. 100 Examen d'un point de confidération foumis par le Docteur Price à fon auditoire, fur l'opportunité du moment actuel, pour redoubler d'efforts en faveur de la cause de la Liberté. L'Angleterre a-t-elle quelques raifons pour imiter ce qu'a fait la France? Est-elle ou n'est-elle pas un Etat libre? Sa repréfentation eft-elle fufceptible des reproches que lui fait le Docteur Price ? 107 Tels que l'Auteur les entend. 117 118 Ce qu'eft la Société civile, en quoi elle différe des dro'ts Situation dans laquelle eft l'Affemblée Nationale. 127 133 138 Compte que l'Hiftoire tiendra de ce qui a eu lieu en 145 Sur l'Esprit de Chevalerie: Son influence fur les mœurs fur les opinions & fur le Gouvernement. 156 Maniere de fentir, différente de celle du D. Price, fondée fur la Nature. Avantages réfultans de certains préjugés. 165 180 Philofophes ifolés en Angleterre, & non pas Sectaires, comme en France. La Religion eft la bafe de la Société civile. Etabliffement de l'Eglife en Angleterre. 183 187 151 Les Principes de la` Religion, plus néceffaires dans une A 2 194 Démocratie, que dans une Monarchie. Avantages de la STABILITÉ, confidérés fous tous leurs rapports, dans les propriétés; dans les fciences; dans les contrats publics, comparés aux contrats privés; dans la nature de l'homme, qui ne peut fe perfectionner que par les efforts de fa propre vertu, & dans l'éducation. Comparés auffi comme moyens de contribuer à la stabilité de l'établiffement religieux, & à fon union avec l'Etat. 211 De cette union de la Politique & de la Religion, est réfulté la néceffité de donner à l'Eglife des propriétés indépendantes. Avantages de la Religion, auffi falutaires aux riches qu'aux pauvres; conféquemment néceffitent de donner à l'Eglife une forte de luxe & d'éclat, qui coutribue à faire refpecter fes Miniftres. Cruauté du traitement que l'on a fait éprouver au Clergé. 213 221 224 fous le l'Etat ; Sur le droit prétendu de confifquer fes biens. Inconféquence de cette opération, confidérée rapport fpécieux du droit des Créanciers de & fous celui du droit que l'on reconnoît au Roi, de contracter plus légitimement une certaine nature de dettes, que de paffer toute autre efpece d'engagement dépendant de la fouveraineté, Ce qui conduit à la découverte de la véritable caufe de cette opération : Le Capitalistes de Paris. Les Philofophes Politiques, Hommes de Lettres. Sur qui devoit porter le déficit. 226 230 233 239 Les Romains, plus juftifiables dans leurs cruautés, que ne le font les François. 243 Henri VIII: L'Afemblée Nationale agiffant plus tyranniquement que Tournure qu'il fe crut obligé de donner à fes opérations fur le Clergé. 245 L'état de la France exigeoit-il cette injustice? Ce qui se pratiquoit relativement aux Impofitions dans les deux premiers Ordres. 249 259 La vente des biens du Clergé, confidérée comme un Ce qu'étoit la Monarchie Françoife. Sa population. Sa richeffe. 263 267 269 273 Que le Règne de Louis XVI avoit été, plus qu'aucan autre, marqué par l'amour du bien & des réformes. 277 Etat actuel de la France 279 Injustice à l'égard de la Nobleffe, d'après l'examen de fa conduite respective, dans fon propre Ordre; & relativé, quant aux autres : — - Ce qu'il y avoit à lui reprocher : Même examen fur le Clergé. 295 à un 5 Conféquences des punitions infligées dans un tems, Corps Collectif, pour les fautes commifes longtems avant dans ce même Corps. 298 309 lui même. Conclufion de tout ce qui a été dit fur le Clergé, ainfi que fur ce qu'on a fait à son égard. 315 Objection & réponse, fur l'opinion que l'on pourroit fuppofer à l'Angleterre fur ce qu'on a fait en France, par rapport au Clergé. Sur la Tolérance & fuite de l'Article précédent. Refpect dû à la prescription. 318 320 327 Qu'y a-t-il de politique dans la deftruction des Ordres Religieux. 332 Principes fur les avantages que l'on peut retirer des établirfemens publics, & leurs conféquences à l'égard de ceux du Clergé. 336 Le Clergé, confidéré comme propriétaire, ne vaut-il pas autant & mieux peut-être que tous les autres ? 341 Conclufion fur les avantages que l'on peut retirer de ces établiffemens religieux. 347 Quant aux Evêques & aux abbés Commendataires, confi dérés auffi comme propriétaires. Ce qu'eft l'A. N. Comment elle agit: fon but. 348 352 354 Principes fur l'efprit qui doit diriger dans les réformes. 361 Comparés à ceux de l'Affemblée. Examen de l'établiffement de la Légiflature. 365 369 Comment tous ces établissemens pourront agir. 394 Opinions des Anciens, fur la néceflité de partager les Citoyens, d'un même Gouvernement, en différentes claffes. 396 |