| Claude François Michéa - 1851 - 414 sivua
...que des douleurs physiques et morales de son ami. Il s'impatientait beaucoup de ce qu'on ne faisait pas assez attention à son compagnon, et surtout de...lui absorbait tous les soins et toutes les tisanes. II faisait souvent la conversation avec lui, et, lorsque la fièvre se calmait, il lui semblait que... | |
| Alexandre Jacques F. Brierre de Boismont - 1852 - 872 sivua
...parlait que du camarade qui partageait ses souffrances. Il s'impatientait beaucoup de ce qu'on ne faisait pas assez attention à son compagnon , et surtout...lui absorbait tous les soins et toutes les tisanes. Il faisait souvent la conversation avec lui, et lorsque la fièvre se calmait,// lui semblait que son... | |
| A. Brierre de Boismont, Alexandre-Jacques-François Brierre de Boismont - 1852 - 754 sivua
...parlait que du camarade qui partageait ses souffrances. Il s'imp;uientait beaucoup de ce qu'on ne faisait pas assez attention à son compagnon , et surtout de ce qu'on ne lui donnait rien à boire, landis que lui absorbai tous les soins et toutes les tisanes. Il faisait souvent la conversation avec... | |
| Alexandre-Jacques-François Brierre de Boismont - 1862 - 760 sivua
...camarade qui partageait ses souffrances. 11 s'impatientait beaucoup de ce qu'on ne faisait pas assçz attention à son compagnon, et surtout de ce qu'on...lui absorbait tous les soins et toutes les tisanes. Il faisait souvent la conversation avec lui, et lorsque la fièvre se calmait, il lui semblait que... | |
| 1884 - 712 sivua
...s'occuper que des douleurs physiques de son ami. Il s'impatientait beaucoup de ce qu'on ne faisait pas assez attention à son compagnon, et surtout de...lui absorbait tous les soins et toutes les tisanes. » Bodin raconte d'un individu de sa connaissance qui avait un esprit familier « qu'il lui avoit asseuré... | |
| Benjamin Ball, Jules Bernard Luys, Ch Lerebours - 1881 - 918 sivua
...que des douleurs physiques et morales de son ami. Il s'impatientait beaucoup de ci- qu'on ne faisait pas assez attention à son compagnon, et surtout de...mieux, et où il raconta que son camarade était parti jiendant la nuit, après lui avoir légué, par son testament, une vessie remplie de sang. » 2* «... | |
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