ÉCOLE FRANÇAISE. ******* CHARDIN. ...o GAL. DE MUNICH. Tandis que pendant le XVIII. siècle tous les peintres de l'École Française semblaient oublier la nature et s'en éloigner, Chardin seul sut en être l'imitateur fidèle, soit en représentant des objets inanimés, soit en traçant sur la toile quelques scènes familières. Il est assez singulier que Hogarth, vivant à la même époque que Chardin, n'ait parlé de lui en aucune manière, dans ses observations sur la peinture, et qu'il ait dit que l'École Française n'avait pas même un colo riste médiocre. Le peintre a placé ici une cuisinière interrompant son travail pour regarder attentivement un objet que le spectateur ne peut apercevoir. Tous les détails sont rendus avec la plus exacte vérité. Les vêtemens sont ceux que l'on portait habituellement à l'époque où vivait le peintre. Ce petit tableau est maintenant au palais de Schleissheim; il a été lithographié par Wolfgand Flachenecker. Haut., 1 pied 5 pouces ; larg., 1 pied 2 pouces. Tan lis que pendant le XVille, siecle tous les peintres de Theois Française semblaient oublier la nature et s'en eloisendes vakareline sed sud ca eire limitateur fidèle, soit e re beds animies, soil ca tracant sur la toile scenes Cinderes. Hest assez singulier que Hogarth, neme époque que Chardin, n'ait parlé de lui en manjené, dans ses observations sur la peinture, et sprit at di que l'Ecole Française n'avait pas même un coloriste mediocre. Le pointre a place jei que cuisinière interrompant sou travail pour reader auenfiament un objet que le spec spencre Tous les détails sont rendus sacle verité. Les veterens sont ceux que l'on popnllement à l'époque al vivait le peintre. maintenauf an palais de Schleissheim; aphie par Welland Flachenecker. Aped & pouces, lago pied 2 pouces. |