Oeuvres de Laplace: Théorie analytique des probabilités

Etukansi
Imprimerie royale, 1847

Kirjan sisältä

Sisältö

Des choix et des décisions des assemblées
xcix
Des tables de mortalité et des durées moyennes de la vie des mariages
cx
Des bénéfices des établissements qui dépendent de la probabilité
cxvii
Des illusions dans lestimation des probabilités
cxxiii
Des divers moyens dapprocher de la certitude
cliii
Notice historique sur le calcul des probabilités
clx
ses arrivées on a la probabilité que la valeur de P sera comprise dans
clxxxvi
DU CALCUL DES FONCTIONS GÉNÉRATRICES
1
CHAPITRE PREMIER Des fonctions génératrices à une variable page
8
De linterpolation des suites à une variable et de lintégration des équations différen
13
Formules pour interpoler entre un nombre impair ou pair de quantités équi
19
dans laquelle on rejette les termes où la quantité élevée à la puissance
20
PREMIER SUPPLÉMENT
26
La formule sarrête lorsque la raison des termes est celle dune suite semblable
28
Passage de cette formule du fini à linfiniment petit Interpolation des suites
35
Théorèmes sur le développement des fonctions et de leurs différences en sé
41
Théorèmes analogues aux précédents sur les produits de plusieurs fonctions
49
dw
54
De linterpolation des suites à deux variables et de lintégration des équations
56
remarque impor
63
se rapportant à la variabilité de x dont lunité est la différence et A
70
Ces théorèmes sont analogues à ceux qui ont été donnés précédemment
77
page
88
Expressions des intégrales de ces équations en intégrales définies Les fonctions
91
grales
92
THÉORIE DES APPROXIMATIONS DES FORMULES QUI SONT FONCTIONS
97
Ce dernier résultat donne par le passage du réel à limaginaire
106
Approximation des double triple etc intégrales des différentielles multipliées
115
De lintégration par approximation des équations linéaires
121
Intégration dun nombre quelconque déquations linéaires à un seul indice
127
V T R étant des fonctions quelconques linéaires de y et de ses diffé
135
n 33 page
138
μ dx c
149
Intégrale approchée de léquation oa+bs Y+a+bs y doù lon
150
Expressions en série convergente du coefficient de a dans le développement
166
27
177
Expression de la différence A s lorsque i est plus petit que n nº 41 p
178
Deux joueurs A et B dont les adresses respectives sont q et 19 jouent à cette
270
Deux joueurs A et B dont les adresses respectives sont q et 1q jouent à cette
272
Une urne étant supposée contenir n + 1 boules distinguées par les nº 0123
276
Solution du problème exposé au commencement du numéro précédent dans
285
Recherche de la loi de probabilité des erreurs des observations moyenne entre
286
Des lois de la probabilité qui résultent de la multiplication
301
Une urne A renfermant un trèsgrand nombre n de boules blanches et noires à chaque
311
quelconque de plusieurs événements simples les probabilités respectives
329
De la probabilité des erreurs des résultats moyens dun
333
Déterminer dans les suppositions précédentes la probabilité que la somme
339
Corriger par lensemble dun grand nombre dobservations plusieurs éléments déjà
345
Examen du cas où la possibilité des erreurs négatives nest pas la même que celle
361
Recherche du système de corrections de plusieurs éléments par un grand
376
Intégration par approximation de léquation aux différences ps y+siYs+1
378
Application du calcul des probabilités à la recherche
383
Ce que devient cette série lorsque lintégrale est prise entre deux limites
391
De la probabilité des causes et des événements futurs
399
Solution de ces divers problèmes n 27 page
406
Application des formules du nº 26 aux naissances observées dans les principaux
414
Recherche de la probabilité des résultats fondés sur les tables de mortalité
423
Évaluer au moyen des naissances annuelles la population dun vaste empire Solution
430
Depuis lépoque où lon a distingué à Paris sur les registres les naissances de chaque
436
De linfluence des inégalités inconnues qui peuvent exister
442
Des durées moyennes de la vie des mariages et
448
Des bénéfices dépendants de la probabilité des événements
460
Des bénéfices des établissements fondés sur les probabilités de la vie Expression
467
De lespérance morale page
474
Explication au moyen de la théorie précédente dun paradoxe que présente
481
De la probabilité des témoignages page
489
Un des témoins atteste la sortie du n i et lautre atteste la sortie du n i déterminer
497
De lapproximation des différences infiniment petites et finies trèsélevées des fonc
511
Démonstration directe de lexpression de A s trouvée dans le n 40
515
DEUXIÈME SUPPLÉMENT
569
Application des formules géodésiques de probabilité à la méridienne
624
souroes derreurs
653
Approximation en séries trèsconvergentes de n étant un grand nombre
657
Lurne A contient n boules blanches lurne B contient le même nombre de boules
671

Yleiset termit ja lausekkeet

Suositut otteet

Sivu lxxix - ... la distance prodigieuse qui les sépare, elle ne peut avoir été qu'un fluide d'une immense étendue. Pour leur avoir donné dans le même sens un mouvement presque circulaire autour du Soleil, il faut que ce fluide ait environné cet astre comme une atmosphère. La considération des mouvements planétaires...
Sivu cli - Car il ne faut pas se méconnaître, nous sommes automate ' autant qu'esprit; et de là vient que l'instrument par lequel la persuasion se fait n'est pas la seule démonstration. Combien y at-il peu de choses démontrées! Les preuves ne convainquent que l'esprit. La coutume fait nos preuves les plus fortes et les plus crues; elle incline l'automate, qui entraîne l'esprit sans qu'il y pense.
Sivu x - Cet axiome, connu sous le nom de principe de la raison suffisante , s'étend aux actions mêmes que l'on juge indifférentes. La volonté la plus libre ne peut , sans un motif déterminant , leur donner naissance ; car si , toutes les circonstances de deux positions étant exactement semblables , elle agissait dans l'une et s'abstenait d'agir dans l'autre , son choix , serait un effet sans cau.se * : elle serait alors , dit Leibnitz , le hasard aveugle des épicuriens.
Sivu x - Tous les événements, ceux mêmes qui par leur petitesse semblent ne pas tenir aux grandes lois de la nature, en sont une suite aussi nécessaire que les révolutions du soleil.
Sivu clvii - ... la longitude moyenne du premier satellite , moins trois fois celle du second , plus deux fois celle du troisième. En même temps, elle a donné naissance à une inégalité périodique qui dépend de la petite quantité dont les moyens mouvemens s'écartaient primitivement du rapport que nous venons d'énoncer.
Sivu xvii - Si les événemens sont indépendans les uns des autres, la probabilité de l'existence de leur ensemble, est le produit de leurs probabilités particulières. Ainsi la probabilité d'amener un as avec un seul dé étant un sixième; celle d'amener deux as eu projetant deux dés à-la-fois, est un trente-sixième.
Sivu x - Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée, et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux...
Sivu clx - ... l'on s'élève successivement à des rapports de plus en plus étendus, et l'on parvient enfin aux lois générales que l'on vérifie, soit par des preuves ou par des expériences directes, lorsque cela est possible, soit en examinant si elles satisfont à tous les phénomènes connus. Telle est la méthode la plus sûre qui puisse nous guider dans la recherche de la vérité.
Sivu clvi - Cependant l'induction, en faisant découvrir les principes généraux des sciences, ne suffit pas pour les établir en rigueur. Il faut toujours les confirmer par des démonstrations ou par des expériences décisives , car l'histoire des sciences nous montre que l'induction a quelquefois conduit à des résultats inexacts.
Sivu lxxix - Dans l'état primitif où nous supposons le Soleil, il ressemblait aux nébuleuses que le télescope nous montre composées d'un noyau plus ou moins brillant, entouré d'une nébulosité qui, en se condensant à la surface du noyau, le transforme en étoile. Si l'on conçoit, par analogie, toutes les étoiles formées de cette manière, on peut imaginer leur état antérieur de nébulosité précédé lui-même par...

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