Le Correspondant, Nide 19;Nide 55Charles Douniol, 1862 |
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Suositut otteet
Sivu 461 - Quand on a consumé sa vie dans un travail désintéressé, et qu'à la fin d'une longue carrière, on voit la difficulté des choses l'emporter sur le désir et les efforts, l'âme, sans se détacher du bien, éprouve l'amertume d'un sacrifice qui n'est pas récompensé, et elle se tourne vers Dieu dans une mélancolie que la vertu condamne, mais que la bonté divine pardonne...
Sivu 365 - Saintes douceurs du ciel, adorables idées, Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir: De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir.
Sivu 166 - Lorsque, dans le silence de l'abjection, l'on n'entend plus retentir que la chaîne de l'esclave et la voix du délateur; lorsque tout tremble devant le tyran, et qu'il est aussi dangereux d'encourir sa faveur que de mériter sa disgrâce, l'historien parait chargé de la vengeance des peuples.
Sivu 434 - Timothée, chap. iv, vers. 1. nous sommes venus, nous voici tranquilles sous ces voûtes séculaires, nous apprenons d'elles à ne rien craindre pour la religion et pour la France : toutes les deux poursuivront leur carrière sous la main de Dieu, qui les protège; toutes les deux vous rendent...
Sivu 198 - Et l'eussions-nous obtenu vivants, que nous en reste-t-il après la mort? Je le veux, une prière amie nous suit au delà de ce monde, un souvenir pieux prononce encore notre nom; mais bientôt le ciel et la terre ont fait un pas, l'oubli descend, le silence nous couvre, aucun rivage n'envoie plus sur notre tombe la brise éthérée de 1 amour.
Sivu 197 - ... mais, enfin, aujourd'hui plus directement, j'arrive à vous-même, à cette divine figure qui est chaque jour l'objet de ma contemplation, à vos pieds sacrés que j'ai baisés tant de fois, à vos mains aimables qui m'ont si souvent béni, à votre chef couronné de gloire et d'épines, à cette vie dont j'ai respiré le parfum dès ma naissance, que mon adolescence a méconnue, que ma jeunesse a reconquise, que mon âge mûr adore et annonce à toute créature.
Sivu 141 - Je suis vaincu du temps, je cède à ses outrages; Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possédai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours.
Sivu 806 - Comme roi des auteurs, qu'on l'élève à l'empire, Ma bile alors s'échauffe, et je brûle d'écrire ; Et, s'il ne m'est permis de le dire au papier, J'irai creuser la terre, et, comme ce barbier, Faire dire aux roseaux par un nouvel organe : ' Midas, le roi Midas a des oreilles d'âne.
Sivu 719 - On ne montre pas sa grandeur pour être à une extrémité, mais bien en touchant les deux à la fois, et remplissant tout l'entre-deux.
Sivu 185 - Je laisse entre les mains de mon évêque cette chaire de Notre-Dame désormais fondée , fondée par lui et par vous, par le pasteur et par le peuple. Un moment ce double suffrage a brillé sur ma tête : souffrez que je l'écarte de moi-même , et que je me retrouve seul quelque temps devant ma faiblesse et devant Dieu.