Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Nide 3;Nide 10Arthur La Broderie, Émile Grimaud J. Forest, aîné, 1871 |
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Yleiset termit ja lausekkeet
3e SÉRIE armes avaient avez BARONNE bataille beau Bourbaki Brascassat Brest Bretagne breton c'était Cercottes Charles cher chose cinq articles cœur combat commandant COMTESSE coup CRÉMIEUX deuxième Armée devant Dieu diocèse dire discours ÉMILE Emile Grimaud Émile Ollivier eût évêque FLOQUET Forest et Emile Freycinet Gambetta général Chanzy GÉNÉRAL HUSSON Glais-Bizoin guerre hermines heures hommes j'ai jamais jour Journal Jules Favre JULES JANIN Jules Simon l'abbé l'Académie l'armée l'auteur l'église l'ennemi l'histoire laisser lettre livre Loigny Loire Luçon main MARQUISE ment ministre Montfort morale mort MORTIMER-TERNAUX n'avait Nantes Napoléon Napoléon III noble œuvres paix parler passe patrie peinture pensée PICARD Pierre Mauclerc porte premier prince Prussiens Quimper RAUDOT Rennes reste rien SAINT-MARC GIRARDIN Saint-Sauveur sainte Sainte-Beuve sentiment seul SIMON soldats Thiers TILLANCOURT tion troupes trouve vérité victoire Victor Cousin Viète Vincent Forest voilà Volontaires de l'Ouest vrai zouaves zouaves pontificaux
Suositut otteet
Sivu 145 - Pourquoi , durant les nuits , sa douce voix se mêle Au doux bruit des ruisseaux sous l'ombrage roulant. Je chantais, mes amis, comme l'homme respire, Comme l'oiseau gémit, comme le vent soupire, Comme l'eau murmure en coulant.
Sivu 381 - Arcole nous couvrant de son corps. 5° Idem, (10,000) dix mille francs au sous-officier Cantillon, qui a essuyé un procès comme prévenu d'avoir voulu assassiner lord Wellington, ce dont il a été déclaré innocent. Cantillon avait autant de droit d'assassiner cet oligarque, que celui-ci de m'envoyer pour périr sur le rocher de Sainte-Hélène. Wellington, qui a proposé cet attentat, cherchait à le justifier sur l'intérêt de la Grande-Bretagne.
Sivu 404 - Assez de malheureux ici-bas vous implorent; Coulez, coulez pour eux: Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent: Oubliez les heureux.
Sivu 222 - A la tête de chaque arrondissement, de « chaque municipalité, placez donc des hommes sympathiques « et résolus. Ne leur ménagez pas les instructions, animez « leur zèle. Par les élections qui vont s'accomplir, ils tiennent « dans leurs mains les destinées de la France ; qu'ils nous don« nent une assemblée nationale capable de comprendre et
Sivu 352 - République européenne et à chacun de ses membres tous les avantages possibles. Mais on ne pourra jamais rien changer à ces cinq Articles fondamentaux que du consentement unanime des Confédérés.
Sivu 226 - Les opérations militaires sur le terrain des départements du Doubs, du Jura et de la Côte-d'Or, ainsi que le siège de Belfort, se continueront indépendamment de l'armistice, jusqu'au moment où on se sera mis d'accord sur la ligne de démarcation dont le tracé à travers les trois départements mentionnés a été réservé à une entente ultérieure.
Sivu 221 - Vous comprenez combien ici votre tâche est grande. L'éducation du pays n'est pas faite. C'est à vous de le guider. Provoquez sur tous les points de votre département la réunion de comités électoraux, examinez sévèrement les titres des candidats. Arrêtez-vous à ceux-là seulement qui paraissent présenter le plus de garanties à l'opinion républicaine, le plus de chances de succès. Pas de transactions, pas de complaisances. Que le jour de l'élection soit le triomphe de la Révolution.
Sivu 352 - ... hostilités, et de rembourser les frais de la guerre suivant l'estimation qui en sera faite par les commissaires de la Grande Alliance.
Sivu 269 - Là encore, nous dûmes subir la funeste influence de la phrase. En disant à Ferrières « pas une pierre de nos forteresses , pas un pouce de notre territoire, » M. Jules Favre avait rendu toute négociation impossible. De même, à la fin de janvier, pour dire à la France et au monde : « Nous ne nous sommes rendus qu'au dernier morceau de pain, » M. Jules Favre fut obligé de tout céder au prince de Bismarck afin d'obtenir pour deux millions d'hommes...
Sivu 362 - Procès instruit par la Cour de Justice criminelle et spéciale du département de la Seine, séante à Paris, contre Georges, Pichegru et autres, prévenus de conspiration contre la personne du premier consul. Paris, C.-F.