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29. X. Genga. answers to J,, D, Y, and Woide.

This ambiguous letter has various powers. It and perhaps to other letters. Consult Jablonski

30. 6. skima. This letter is likewise variously sounded. It is often convertible with R. W. and X.

31. T. Heb. n.

32. . This letter is in little use.

From this short statement the Hebraist will be able to compare the Coptic with the Hebrew words, of which I shall give a list below. I must, however, again observe, that the Egyptians frequently confounded the letter S, with the aspirate. It will not be expected, that the connexion between the two languages should be made out with equal clearness in every example. If your learned readers, Mr. Editor, be of opinion, that I have failed in my undertaking, I shall easily abandon my hypothesis; but, if I succeed in convincing them, that many Coptic words, which cannot be referred either to the Greek, or to the Persian, and which, therefore, probably belonged to the ancient idiom of the country, bear a strong resemblance both in sense and in sound to the Hebrew, I hope I shall not be accused of any great temerity, in maintaining, that as the Phoenicians, Syrians, Hebrews, Chaldeans, Ethiopians, Ammonians, and Carthaginians, spoke cognate dialects, the language of the ancient Egyptians was not entirely dissimilar to that of all their neighbours.

List of Coptic words apparently derived from the Hebrew. Those marked with an asterisk are given on the authority of Woide.

Coptic.

DAHI, ascendere.

DAOY, puer.

Hebrew.

by, ascendit.

.puer,עולל infantulus,עול

DUDSTE, (Sahid.) robur. YDN, robur.

DUOHI, pascere. - UOHIN, nutrivit.

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*CIOTA, cervus.

v, pudefieri; wrap, pudendum.

, cervus.

ЄHE2, saculum, (Gr. aiwv.)_IN, tempus.

*ЄPUH, malum Punicum.

7, malum Punicum.

ЄAHOY, vanitas.

ena, collis.

*шu, sulci.

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OORC, transfigere.
eшUC, occultare.
eш, obmutescere.
*IMPO, fluvius.
IOU, mare.
RDU, juncus.
Kш, arundo.

ROW, frangere.
RHRC, squama.

ROA, volvere.

ADC, lingua. *Üн, panis. aexe, lingere. *AHR, humidus. UOR2, dolor morbus. Uoa, sal. UOWI, ire.

VOXH, zona.

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UWOY, aqua.

UMOTT, mors.

HD, ire, venire.

", (Chald.) aquæ.

.mors ,מות

y, movit se.

HOO, (pronounced CHOO), (Chald.) tu.

tu.

HIW, magnus, nobilis.
HII, inspiratio, spiritus.
HOWEР, cullus.
o, sumere, ducere.
PшHI, lavare.

NV, elevare, NW, Princeps.

П, spiravit, WI, anima.
WI, aquila.

by, (in Hiph.) abstulit, eduxit.

Y, lavare.

,רחץ

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an, referre.

TOYBO, puritas, sanctitas., bonus.

TB, reddere.

TURI, quintus mensis Ægyp- nan, mensis dec. Heb.

tiorum.

*DW, laqueus.

ÞEAD, faba.
CH2, vertere.
CPW, extendere.

CPX, dividere.
PI, osculum.

POPI, florere.
POPR, evellere.
T2, sculptura.
WW, divisio.
XDUE, niger.
ХЄР», vomer.

XHUI, Ægyptus; nec alio
nomine Egyptus appellatur in
Sacris litteris et aliis libris
Egyptiacis. Woide.
XHII, abscondere.
x0A, hiatus, foramen.
xoa xea, contritio.

WIR, panis.

WAI, tollere, sumere.

*шUR, devorare.

ww, multus.

una, claudus.

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П, laqueus.

.faba ,פול

, vertere!

, extendere.

D, divisit.

,פרס

.0s,פיה

, floruit.

P, eripuit.

, sculptura.

TUD, discerpsit.

.fuscus ,חום-חמם

w, aravit, non, vomer.

Пn, occultavit.

, perforari.

nnn, dolor vehemens.

y, placenta.

by, (in Hiph.) abstulit, &c.

PDy, profundus fuit.

ww, congregari.

y, claudus.

ja, (Syr.) pellis.

forsan à O, declinare.

bbw, spoliavit.

vpv, (Chald.) ministravit.

.sponsa,כלה

.senectus ,כלח

Don, calefactus fuit.

mon, operuit.

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Now, Sir, without pretending that all these etymologies must be just, I cannot help thinking, that most of them are so. But if the Egyptians retained so many words, closely allied to the Hebrew, in the second century, after their country had been successively conquered by the Persians, Greeks, and Romans, is it not probable that the Egyptian language bore a yet greater resemblance to the Hebrew sixteen or eighteen hundred years before, when the Israelites dwelt in Egypt, and were governed by the kings of that country? I am ready, however, as I before stated, to give up the point, if I find that I differ from more learned philologists than myself.

Edinburgh, Jan. 1813.

W.DRUMMOND.

OBSERVATIONS SUR LE COSTUME
THEATRAL.

NOTRE

OTRE Costume theatral a fait de grands progrès depuis vingt ans ; mais il ne faut pas s'imaginer qu'il soit porté à son dernier degré de perfection. Nos grands théâtres offrent quelquefois sur ce point des inconvenances dont les spectacles des boulevarts sont exempts; cette partie si essentielle de la représentation y est souvent plus soignée que sur notre scène lyrique et tragique.

Autrefois les acteurs étoient à peu près vêtus de la même manière, et la forme de leurs vêtemens se rapprochoit plus du temps où on jouoit la pièce, que de l'époque à laquelle l'action étoit censée se

In giving this article to our readers, we are sure that we are conferring a signal service on the English stage. Although Mr. Kemble has introduced more classical propriety in the costume of the theatre, yet great room is left for improvement, and many general hints may be taken from M. Millin's ob

servations.

passer. Le Kain et Mademoiselle Clairon commencèrent la réforme, mais ils se bornèrent à exclure les paniers des actrices, et le chapeau à plumet des acteurs. Les comédiens se croyoient en Scythes, quand ils avoient un manteau de satin tigré; l'habit turc étoit commun à tous les rôles asiatiques, et l'habit français du seizième siècle servoit à représenter tous les rôles de princes et de chevaliers depuis les premiers temps de la monarchie; les princesses, de quelque nation qu'elles fussent, avoient toujours un grand manteau carré de velours bleu ou cramoisi, bordé en or, qu'on appeloit doliman. J'ai vu, peu de temps avant la révolution et encore depuis, jouer Mérope, Andromaque et Cléopâtre dans Rodogune, avec une robe de soie noire et une ceinture de diamants, et les Cherusques avec une fraise de gaze, à la Médicis.

Talma, un des plus grands acteurs qui aient illustré notre scène, doit être aussi regardé comme le véritable réformateur du costume théatral; dans la représentation de Charles IX, il a fait introduire celui du temps de Catherine de Médicis avec la plus exacte vérité; c'est lui qui a fait prendre aux actrices l'habit et la coiffure des femmes grecques et romaines qu'on a vus pour la première fois dans la Virginie de LA HARPE, les Graques, le Timoléon de CHENIER, et l'Agamemnon de M. LEMERCIer.

Malgré cette utile réforme, je pourrois citer un grand nombre de fautes qui se commettent sur nos grands théâtres, et qui nuisent à la beauté et à l'effet de la représentation. Sur la scène française, Sémiramis paroît dans un palais décoré de colonnes corinthiennes; ses jardins sont remplis de plantes d'Amérique; son trône est placé sous un baldaquin à la polonoise; la plupart des personnages sont habillés à la turque, et un écuyer habillé en chevalier français donne la main à la Reine. Les fautes qu'on pourroit reprocher au grand Opéra sont encore plus nombreuses et moins excusables, puisqu'aucune dépense n'y est épargnée pour la pompe et la magnificence de la représentation.

Mais, au lieu d'indiquer toutes les erreurs que j'ai cru remarquer, je décrirai la manière dont je pense qu'on devroit représenter un des plus beaux ouvrages, dont s'honorent la scène lyrique et la scène française, Iphigénie en Aulide.

On représente aux Français, et à l'Opéra surtout, Iphigénie en Aulide d'une manière tout-à-fait opposée à ce qu'on connoît des mœurs des temps héroïques. On voit toujours sur le devant de la scène, une superbe tente qui paroît être de cuir doré, retenue avec des cordes et des glands d'or, et découpée comme les baldaquins du temps de Louis XIII. et de Louis XIV.; dans le fond sont les autres tentes qui paroissent de toile ou de coutil, et ressemblent absolument à celles de nos camps modernes: cependant, on ne connoissoit pas l'usage de ces tentes dans les temps héroïques: Homère ne dit jamais que les Grecs aient tendu des toiles pour se mettre à l'abri des injures de l'air; lorsqu'ils campèrent devant Troic, ils construisirent des cabanes, comme

1 Homère désigne toujours ces habitations par le mot xía, qu'on doit rendre par tuguria (cabanes,) et non par les mots tentoria lintea (tentes de toiles.)

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