| Gottfried Wilhelm Freiherr von Leibniz - 1842 - 536 sivua
...toujours plus beaux à mesure qu'on montait vers la pointe, et ils représentaient de plus beaux mondes. On vint enfin dans le suprême qui terminait la pyramide...déesse l'expliqua, parce qu'entre une infinité de mondes possibles, il ya le meilleur de tous, autrement Dieu ne se serait point déterminé à en créer... | |
| Gottfried Wilhelm Freiherr von Leibniz - 1846 - 594 sivua
...toujours plus beaux à mesure qu'on montait vers la pointe, et ils représentaient de plus beaux mondes. On vint enfin dans le suprême qui terminait la pyramide...déesse l'expliqua, parce qu'entre une infinité de mondes possibles il ya le meilleur de tous, autrement Dieu ne se serait point déterminé à en créer... | |
| Gottfried Wilhelm von Leibnitz - 1846 - 620 sivua
...toujours plus beaux à mesure qu'on montait vers la pointe, et ils représentaient de plus beaux mondes. On vint enfin dans le suprême qui terminait la pyramide et qui était le pins beau de tous ; car la pyramide avait un commencement , mais on n'en voyait point la fin ; elle... | |
| Alfred Lorquet - 1847 - 424 sivua
...toujours plus beaux , à mesure qu'on montait vers la pointe, et ils représentaient de plus beaux mondes. On vint enfin dans le suprême qui terminait la pyramide...déesse l'expliqua) parce qu'entre une infinité de mondes possibles, il ya le meilleur de tous , autrement Dieu ne se serait point déterminé à en créer... | |
| Jean-Félix Nourrisson - 1860 - 522 sivua
...toujours plus beaux à mesure qu'on montait vers la pointe, et ils représentaient les plus beaux mondes. On vint enfin dans le suprême, qui terminait la pyramide...pyramide avait un commencement, mais on n'en voyait pas la.fin. — C'est (comme la Déesse l'expliqua) parce que entre une infinité de mondes possibles,... | |
| François Bonifas - 1863 - 254 sivua
...toujours plus beaux à mesure qu'on montait vers la pointe, et ils représentaient de plus beaux mondes. On vint enfin dans le suprême qui terminait la pyramide...croissant à l'infini. C'est, comme la déesse l'expliqua, qu'entre une infinité de mondes possibles, il ya le meilleur de tous, autrement Dieu ne se serait... | |
| François Huet - 1864 - 474 sivua
...toujours plus beaux, à mesure qu'on montait vers la pointe, et ils représentaient de plus beaux mondes. On vint enfin dans le suprême qui terminait la pyramide...pyramide avait un commencement, mais on n'en voyait pas la fin ; elle avait une pointe, mais point de base; elle allait croissant à l'infini. C'est parce... | |
| François Huet - 1864 - 472 sivua
...et qui était le plus beau de tous ; car la pyramide avait un commencement, mais on n'en voyait pas la fin ; elle avait une pointe, mais point de base; elle allait croissant à l'infini. C'est parce qu'entre une infinité de mondes possibles, il ya le meilleur de tous, autrement Dieu ne se serait... | |
| Gottfried Wilhelm Freiherr von Leibniz - 1866 - 722 sivua
...toujours plus beaux, à mesure qu'on montait vers la pointe, et ils représentaient de plus beaux mondes. On vint enfin dans le suprême qui terminait la pyramide, et qui élait le plus beau de tous ; car la pyramide avait un commencement, mais on n'en voyait point la fin... | |
| Gottfried Wilhelm Freiherr von Leibniz - 1875 - 386 sivua
...toujours plus beaux à mesure qu'on montait vers la pointe, et ils représentaient de plus beaux mondes. On vint enfin dans le suprême qui terminait la pyramide...avait un commencement, mais on n'en voyait point la tin ; elle avait une pointe, mais point de base; elle allait croissantà l'inu'ni(l). C'est, comme... | |
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