Une destinée: scène de la vie intimeMaison, 1838 - 326 sivua |
Yleiset termit ja lausekkeet
aban Adieu aimée Amable TASTU âme amour ange bains baiser baisers bercée blanche bois de Boulogne bonheur bras brise bruit c'était calme caresses causeuse CHAPITRE Charlotte cheveux ciel Clara clématites cœur délicieux demander devant Dieu dire douce douleur doux Edmond encens enfant Fanny Félix de Saint-Goir fleurs Francille frère front genoux Georges Sand heures heureuse j'ai j'avais jamais jeta jeune femme jeune fille jeune homme jolie jour l'amour l'ermitage laisse LAMARTINE larmes lettre lèvres longtemps Lucile m'avez madame de Marly madame de Mérac madame de Vauzelle main malheureux matin ment mère monde mort mourir murmure n'avait Niort nuages oiseau de passage pâle pardon paroles passé passions Paul pensée peuplier pleurer poésie regards reste reuse rêve Rochelle s'écria s'était sainte sais salon serait seule sœur soir soleil solitude souffrir sourire souvent stoïcisme suave tamarins tête tombe triste VALMORE vent vicomtesse vint visage voile voix yeux
Suositut otteet
Sivu 229 - Ici, me dis-je, ici fleurit jadis une ville opulente ; ici fut le siège d'un empire puissant. Oui ! ces lieux maintenant si déserts, jadis une multitude vivante animait leur enceinte ; une foule active circulait dans ces routes aujourd'hui solitaires. En ces murs où règne un morne silence, retentissaient sans cesse le bruit des arts et les cris d'allégresse et de...
Sivu 277 - Savez-vous que je me serais prosternée devant vous comme devant un envoyé du ciel, si vous m'aviez fidèlement aimée...
Sivu 21 - Corinne, vous ne me connaissez pas; de toutes mes facultés, la plus puissante c'est la faculté de souffrir. Je suis née pour le bonheur, mon caractère est confiant, mon imagination est animée; mais la peine excite en moi je ne sais quelle impétuosité qui peut troubler ma raison ou me donner la mort. Je vous le répète encore, ménagez-moi ; la gaieté, la mobilité ne me servent qu'en apparence, mais il ya dans mon âme des abîmes de tristesse dont je ne pouvais me défendre qu'en me préservant...
Sivu 295 - L'ombre de mon ami , m'entourant d'un nuage , Toujours entre eux et moi jetait sa chère image; Et d'un œil attendri quand je leur souriais, Hélas ! les insensés ! c'est lui que je voyais ! Tant d'un éclat trop pur l'âme jeune éblouie Ternit toute autre chose ensuite dans la vie. Ah ! malheur à qui voit devant ses yeux passer Une apparition qui ne peut s'effacer ! Le reste de ses jours est bruni par une...
Sivu 145 - C'est toi que j'entends, que je vois Dans le désert, dans le nuage; L'onde réfléchit ton image ; Le zéphyr m'apporte ta voix. Tandis que la terre sommeille , Si j'entends le vent soupirer, Je crois t'entendre murmurer Des mots sacrés à mon oreille.
Sivu 39 - ... au murmure de l'eau et aux soupirs de la brise, vint se joindre une voix pure , suave , enchanteresse , une voix d'homme, jeune et nerveuse comme celle d'un hautbois. Elle chantait un air du pays, bien simple, bien lent, bien triste comme ils le sont tous. Mais comme elle le chantait! Certes ce n'était pas un villageois qui savait ainsi poser et moduler les sons. Ce n'était pas non plus un chanteur de profession, qui s'abandonnait...
Sivu 71 - ... habitudes et les relations de son père, tant dans le duché que dans la Russie même. Il ne fut relâché qu'au bout de quinze jours, avec défense expresse de se présenter chez l'ambassadeur de France (général Lauriston). On l'avertit que toutes ses démarches étaient soigneusement épiées, et que ce qu'il avait de mieux à faire était de partir sur-le- champ pour Varsovie, où on lui permettait de se rendre cette fois pour tout de bon.