| 1878 - 594 sivua
...disparaissent. On ne trouve, après l'action de l'air, que de fines granulations amorphes, impropres à toute culture non moins qu'à la communication d'une...devant de tels ennemis, lorsqu'on la voit, prenant ù peine possession de leur étude, nous apprendre, par exemple, que le simple contact de l'air sufïît... | |
| 1878 - 1228 sivua
...toute culture non moins qu'à la communicatloD d'une maladie quelconque. On dirait que l'air biùle les vibrions. S'il est terrifiant de penser que la...multiplication de ces infiniment petits, il est consolant aussi d'esprrer que la science ne restera pas toujours impuissante devant de tels ennemis, lorsqu'on In voit,... | |
| Sigismond Jaccoud - 1882 - 850 sivua
...puisse être à la merci de la multiplication de ces infiniment petits, il est consolant aussi de penser que la science ne restera pas toujours impuissante...à peine possession de leur étude, nous apprendre que le simple contact de l'air suffit pour les détruire. » L'observation la plus intéressante que... | |
| 1882 - 858 sivua
...renferme (Dnclaiix, Fermcnlx H maladies. 1882). «S'il est terrifiant île penser, dit M. Pasteur, que la vie puisse être à la merci de la multiplication de ces infiniment petits, il est consolant aussi de penser que la science ne restera pas toujours impuissante devant de tels ennemis, lorsqu'on la voit,... | |
| 1882 - 850 sivua
...renferme (Diiclanx, Fermenlx et maladifs, 1882). «S'il est terrifiant de penser, (lit M. Pasteur, que la vie puisse être à la merci de la multiplication de ces infiniment petits, il est consolant aussi de penser que In science ne restera pas toujours impuissante devant de tels ennemi», lorsqu'on la... | |
| Émile Duclaux - 1882 - 326 sivua
...curieux. On dirait que l'air brûle les vibrions. « S'il est terrifiant de penser, dit M. Pasteur, que la vie puisse être à la merci de la multiplication de ces infiniment petits, il est consolant aussi de penser que la science ne restera pas toujours impuissante devant de tels ennemis, lorsqu'on la voit,... | |
| Émile Duclaux - 1896 - 412 sivua
...disparaissent. On ne trouve, après l'action de l'air, que de fines granulations amorphes, impropres à toute culture, non moins qu'à la communication d'une...puisse être à la merci de la multiplication de ces infiniments petits, il est consolant aussi d'espérer que la science ne restera pas toujours impuissante... | |
| René Vallery-Radot - 1900 - 708 sivua
...était comme une baie largement ouverte au milieu du détail de tant d'expériences, il disait : « S'il est terrifiant de penser que la vie puisse être...devant de tels ennemis, lorsqu'on la voit, prenant possession de leur étude, nous apprendre. par exemple, que le simple contact de l'air suffit parfois... | |
| René Vallery-Radot - 1907 - 710 sivua
...était comme une baie largement ouverte au milieu du détail de tant d'expériences, il disait : « S'il est terrifiant de penser que la vie puisse être...devant de tels ennemis, lorsqu'on la voit, prenant possession de leur étude, nous apprendre, par exemple, que le simple contact de l'air suffit parfois... | |
| Édouard Boinet - 1907 - 342 sivua
...l'abri de l'air. Ce vibrion lulla première espèce d'anaérobie connue ?« S'il est terrifiant, dit-il, de penser que la vie puisse être à la merci de la multiplication de ces infiniment petits, il est consulant aussi d'espérer que la science ne restera pas toujours impuissante devant de tels ennemis,... | |
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