Mémoires: Publiés par la duchesse d'Almazan, Nide 1C. Lévy, 1896 |
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administration affaires aurait avaient baron d'Haussez baron de Vitrolles Beugnot Bourbons c'était cabinet caractère cause Cent Jours Chambre des députés Chambre des pairs Charles Charles X charte chose comte d'Artois conseiller d'État conspiration Corbières coup d'État d'Argout Decazes département devait dévouement discours donner duc d'Angoulême duc de Bellune duc de Berry émigrés esprit eût faisait général Pamphile gouvernement Grenoble haine homme idées j'ai j'avais j'étais l'armée l'avait l'Empire l'Isère l'opinion l'opposition laissé législatif libéraux Louis XVIII m'avait madame madame de Staël Madier maire maréchal membre Mémoires ment militaire ministre monarchie Monsieur mort mourut moyens n'avait n'était Napoléon Neufchâtel Nîmes nommé opinions parle passé pendant les Cent personne police politique porte position pouvait préfecture préfet première prendre prince prit protestants raison refusa régime réputation Restauration reste révolution de Juillet rien royalistes s'était salon semblait servir seul sorte succès talent tion titre tribune trouver Villèle Vitrolles voulait
Suositut otteet
Sivu 44 - L'unité du ministère est la plus forte que je puisse offrir; j'entends qu'elle existe , et que la marche franche et assurée de mon Conseil garantisse tous les intérêts et calme toutes les inquiétudes. On a parlé, dans les derniers temps, du rétablissement de la dîme et des droits féodaux. Cette fable, inventée par l'ennemi commun , n'a pas besoin d'être réfutée. On ne s'attendra pas que le Roi de France s'abaisse jusqu'à repousser des calomnies et des mensonges.
Sivu 58 - XVIII avait le sentiment le plus élevé et le plus net de la situation lorsqu'il écrivait: «le système que j'ai adopté, et que mes ministres suivent avec persévérance, est fondé sur cette maxime, qu'il ne faut pas être le roi de deux peuples, et tous les efforts de mon gouvernement tendent à faire que ces deux peuples qui n'existent que trop finissent par en former un seul.
Sivu 97 - ... représentant et l'organe, comme on l'est envers lui; que manquer à la fidélité qu'on lui a jurée, c'est un crime envers la société, et que dans le calcul des chances de rencontrer l'intérêt général dans la volonté d'un souverain ou dans celle contraire des factions, il ya plus de probabilités en faveur de la première, parce qu'elle est plus raisonnée et plus calme; qu'elle tend à conserver, tandis que, passionnée pour des théories, emportée et irréfléchie, la volonté populaire...
Sivu 118 - Landes, ou collection de mémoires et d'écrits relatifs à la contrée renfei-mée entre la Garonne et l'Adour, publiée par M. le baron d'Haussez, membre des requêtes au Conseil d'État, ancien préfet des Landes, préfet du département de la Gironde. (Bordeaux, Garriot, 1826, in-8° de 303 pages.) Souvenirs pour servir à la statistique du département de l'Isère, par M. le baron d'Haussez, conseiller d'État, préfet de la Gironde, ancien préfet de l'Isère. (Bordeaux, Lanefranque frères,...
Sivu 28 - Moniteur une note où l'on disait que la cocarde blanche, nécessaire comme signe de ralliement, cessait de l'être lorsque le rétablissement de la dynastie des Bourbons était accompli et que, dès lors, les trois couleurs devaient être rétablies. Sur l'opposition du comte d'Artois, la note fut supprimée. , Alors Talleyrand écrivit au maréchal Jourdan, à Rouen, que le maréchal Marmont avait fait prendre à son corps d'armée la cocarde blanche, et le maréchal Jourdan suivit l'exemple qui...
Sivu 89 - J'irai plus loin : le jour où le Gouvernement sera à la discrétion de la majorité de la Chambre; le jour où il sera établi en fait que la Chambre peut repousser les ministres du Roi, et lui en imposer d'autres qui seront ses propres ministres, et non les ministres du Roi ; ce jour-là, c'en est fait, non...
Sivu 286 - Ils vous ont trompé sur mon compte! s'écria-t-il ; ils ne vous ont dit que la moitié des faits. Ils vous ont parlé de mes vengeances, ils ne vous ont rien dit de ce qui les avait provoquées. Je vais vous dire la vérité, moi; j'en ai le droit. Je parle en présence de M.
Sivu 408 - Chateaubriand l'ambassade de Rome. « Je ne me hasarderais pas à en faire la proposition au roi, lui répondit M. de Villèle. — En ce cas, dit M. Bertin, souvenez-vous que les Débats ont déjà renversé les ministères Decazes et Richelieu : ils sauront bien aussi renverser le ministère Villèle. — Vous avez renversé les premiers en faisant du royalisme, reprit M. de Villèle; pour renverser le mien , il vous faudra faire de la révolution. » II n'y avait, pour M. de Villèle, rien de...
Sivu 181 - M. de La Fayette, M. d'Argenson et M. Manuel acceptaient et dirigeaient les conspirations sans les ignorer; le général Foy, M. Benjamin Constant et M. Casimir-Perier les désapprouvaient et ne s'y associaient pas.
Sivu 22 - En matière de gouvernement, tout pour le peuple, rien par le peuple, doit être un axiome absolu et qui ne comporte aucune modification. Sa volonté n'est qu'une suite de caprices rarement bons, très souvent vicieux et toujours inspirés par des intérêts qu'il ne soupçonne même pas. Ce n'est donc pas cette volonté qu'il faut consulter, mais bien ce que la raison conseille, ce que la morale approuve, ce que l'expérience justifie...