ERTE religieuse. Voy. Legs conditionnel.
RATRIE. Le règlement de 1723, qui défend, sous peine d'une mende de 500 fr., d'exercer la librairie sans brevet, conti- ue-t-il d'être en vigueur? Aff. 144.-Voy. Ministère public. ITATION. Voy. Faillite.
QUIDATION. Voy. Créance sur l'état.
RES. Le louage, comme la vente des livres, est-il un acte de commerce de la librairie, qui ne puisse se faire sans brevet, ous peine de 500 fr. d'amende? Aff. 557.
CATAIRE. Le locataire troublé dans sa possession par un autre ocataire du même immeuble doit-il porter son action devant e tribunal civil? Aff. 520.
TERIE. Voy. Tribunal de police.
ITAE d'hôtel. Voy. Boissons. ALVERSATION. Voy. Veuve. ANDANT. Voy. Erreur.
ANDAT. Peut-il être modifié par une clause qui ne soumet le mandant à payer un salaire au mandataire que dans le cas de succès? Aff. Dans cette hypothèse, le mandant perd-il le droit de révoquer le mandat quand bon lui semble, sauf indemnité si la révocation cause du dommage au mandataire? Nég. 401. Les tribunaux peuvent-ils décider qu'une ac- quisition a été faite en vertu du mandat donné par un tiers qui ne figure pas dans l'acte de vente, bien que le mandat ne soit pas représenté, si son existence résulte de faits et de circonstances graves appuyées sur un commencement de preuve par écrit ? Aff. 481.
larghandise. Le défaut de procès-verbal entraîne-t-il la dé- chéance du droit d'opposer les vices intrinsèques des mar- chandises expédiées? Nég. 382.
MARCHÉ à terme. Voy. Agent de change.
MARI. Sous le régime dotal, le mari est-il tenu de fournir cau- tion pour la réception des sommes dotales échues par succes- sion à son épouse pendant le mariage? Nég. 47. - Le mari vendeur d'un immeuble grevé de l'hypothèque légale de sa femme, et qui n'a pas fait connaître cette hypothèque, peut-il, d'après les circonstances, et attendu sa bonne foi, être dé- chargé des peines du stellionat? Aff. 61.
MÉDECIN. Peut-on assimiler à un expert, qui, aux termes de l'article 383 du code d'inst. crim., ne peut être juré dans la même affaire où il a rempli des fonctions d'expert, le méde- cin qui, dans un procès criminel, a fait un rapport sur l'état de l'individu homicidé? Aff. 335.
MEURTRE. Pour qu'il y ait meurtre, suffit-il que le coup mortel ait été porté volontairement, sans qu'il soit nécessaire que coupable ait eu l'intention de donner la mort? Aff. 98. → Voy. Jury.
MILITAIRE. L'art. 12, section 3, de la loi du 12 mai 1793, a-t-il
été maintenu en vigueur par l'art. 22, titre 8, de la loi du
21 brumaire an 5? Aff. En conséquence, le militaire qu
se rend coupable du vol d'objets appartenant à ses camara
des doit-il être condamné à la peine de six ans de fer, con-
formément à l'art. 12 de la loi précitée ? Aff. 479-
MINEUR. Le mineur qui exerce le commerce sans avoir rempli
les formalités prescrites par la loi peut-il, en cas de faillite,
être condamné comme banqueroutier? Nég. 51.- Les en-
fants mineurs ont-ils une hypothèque légale sur les biens de
leur père qui, durant le mariage, est administrateur de leurs
biens personnels? Nég. 302. Le mineur dont le tateur a
vendu les biens sans formalités de justice a-t-il une hypothèque
légale sur les immeubles de celui-ci pour la répétition dupris
de la vente, indépendamment de l'action révocatoire qui lui
appartient contre les tiers acquéreurs? Aff. L'hypothèque
légale du mineur qui déclare son option pour la répétition du
prix date-t-elle du jour de l'acceptation de la tutelle, et non
pas seulement de l'époque de la vente? Aff. 527.
es qualités de l'arrêt, peut-on se prévaloir de ce même moyen our faire casser l'arrêt? Nég. 522.
TATION. Lorsque le capital d'une rente sur l'état recueillie ar un héritier ou légataire universel est employé à l'ac- uittement de legs particuliers de sommes d'argent, le droit e mutation est-il dû par les légataires particuliers? Nég. - Dans ce cas, les légataires particuliers sont-ils libérés par le paiement des droits fait par l'héritier sur la totalité de la suc- cession? Aff. 9o.
VIRE. Le propriétaire d'un navire peut-il, en abandonnant le navire et le fret, se soustraire au remboursement de la va- leur des marchandises dûment vendues par le capitaine dans le cours du voyage, pour subvenir aux victuailles, radoub ou autres nécessités pressantes du bâtiment? Nég. 53.
OTAIRE. Le notaire qui dresse l'inventaire des biens d'un mi- neur, en présence du subrogé tuteur, avant l'enregistrement de l'acte de nomination de ce dernier, est-il passible de l'a- mende prononcée par la loi du 22 frimaire an 7? Nég. — En ce cas, l'inventaire peut-il être considéré comme un acte fait en conséquence de la nomination du subrogé tuteur, dans le sens de l'article cité? Nég. 11. Les créanciers d'un no- taire ont-ils pour gage non seulement le cautionnement fourni par cet officier, mais encore le prix éventuel de sa charge, dans le cas où il viendrait à l'aliéner? Aff. - En conséquence, ces créanciers peuvent-ils former, entre les mains du syndic de la chambre des notaires, opposition à ce que leur débiteur vende son étude, et à ce que son' suc- cesseur soit admis, à moins que le prix de la vente ne soit afffecté au paiement de leurs créances? Aff. 238.- Quoi- que le notaire qui insère dans ses minutes des fausses quit- tances du droit d'enregistrement ne commette pas un faux dans l'exercice de ses fonctions, néanmoins la mention de ces fausses quittances par lui faite sur l'expédition de ses actes constitue-t-elle un faux dans l'exercice de ses fonctions? Aff. 261.- Un notaire de chef-lieu d'arrondissement, qui va passer deux jours de chaque semaine dans une autre commune de son ressort où réside un notaire, afin d'y recevoir les actes de son ministère, peut-il être puni d'une peine de discipline, sous prétexte qu'en agissant ainsi il mangue à la délicatesse et aux devoirs de sa profession? Nég. 281.- Un notaire a-t-il qua- lité pour recevoir un acte de compromis dans lequel les par- ties compromettantes le nomment arbitre de leurs différents? Aff. 296. Un notaire peut-il être reproché lorsqu'il est ap- pelé dans une enquête pour déposer sur des faits extrinsèques au contrat passé devant lui, notamment sur l'état d'ivresse
de l'une des parties aa moment de la passation de l'acte? Aff - Dans ces circonstances, le clerc du notaire peut-il être re- proché? Nég. 297. Lorsqu'une partie a acquitté volontai rement et sans réserve une note sommaire à elle fournie par un notaire pour ses déboursés et honoraires, sans distinction, est-elle recevable, sur le vu du mémoire détaillé, à demander la réduction de ces mêmes honoraires, qu'elle prétend être excessifs? Aff. - Est-ce le tribunal civil, et non le président de ce tribunal, qui est compétent pour connaître d'une pa- reille action? Aff. En supposant que le tribunal ne fût pas compétent, la partie qui n'a pas opposé cette incompétence peut-elle s'en prévaloir pour la première fois devant la cour de cassation? Nég. — Un jugement relatif au règlement des honoraires d'un notaire, qui, aux termes de l'art. 51 de la loi du 25 ventôse an 11, ne doit être rendu qu'après avoir con- sulté la chambre, est-il nul pour ne pas contenir le visa de la délibération de cette chambre, s'il est évident d'ailleurs que le tribunal en a pris connaissance? Nég. 584.-Lorsqu'e cause doit être jugée sur simple mémoire et sans frais, la par- tie qui a constitué un avoué et fait plaider un avocat est-elle recevable à se plaindre plus tard de cette violation de la loi? Nég. 584. Voy. Vente publique.
NOTIFICATION. Voy. Affiche.
NOVATION. Voy. Héritier, et Séparation de patrimoines. NULLITÉ couverte. Voy. Jugement.
NULLITÉ relative. Voy. Commune.
OBLIGATION SOUs seing privé. Voy. Endossement. OCTROI. En matière d'octroi, comme en celle de contributions indirectes, l'action publique et l'action privée peuvent-elles être exercées soit par le ministère public, soit par les ad- ministrateurs, fermiers, adjudictaires et autres chargés de la perception des droits? Aff. Chaque contravention consta- tée par un procès-verbal doit-elle être réprimée par une amende particulière, sans que le tribunal puisse se borner à prononcer une seule amende pour plusieurs contraventions, sous prétexte qu'elles auraient pu être constatées par un seul procès-verbal? Aff. - Les dépens peuvent-ils être compensés entre le prévenu déclaré coupable et l'adjudicataire des droits d'octroi qui l'a poursuivi? Nég, 279.
OPPOSITION. Voy. Saisie-exécution.
OPPOSITION à ordonnance. Voy. Chambre d'accusation. Ordonnance. Voy. Ordre.
ORDONNANCE royale, Modification. Voy. Sels.
NNANCE de référé. Une ordonnance sur référé qui, sta- ant sur l'exécution d'un titre, fixe la quotité de la somme è au poursuivant et ordonne la continuation des poursuites, ève-t-elle au débiteur, qui ne l'a pas attaquée par appel, faculté de débattre devant le tribunal le montant de la ́ance, et de demander la nullité des poursuites? Nég. 225. E. En matière d'ordre, le juge-commissaire est-il compé- at pour décider, dans le cas de Fart. 775 du cod. de proc. et sans en être requis par aucune des parties, qu'il n'y a s lieu de continuer la procédure d'ordre? Nég. s, l'ordonnance du juge-commissaire doit-elle être attaquée, n par la voie de l'opposition, mais par la voie de l'appel? f. 241. Le créancier qui n'a pas contredit dans le délai ut-il toujours, indépendamment de la forclusion prononcée r l'art. 756 du cod. de proc., opposer aux créauciers collo- iés avant lui l'exception résultant d'une quittance? Aff. 589. RE public. Voy. Injure.
RAGE à la religion. Une publication incomplète et mutilée es livres saints est-elle un outrage à la religion de l'état et ix autres cultes chrétiens? Aff. Le délit d'outrage n' n'ayant ›int été défiui par la loi du 25 mars 1822, l'arrêt qui pro- ɔnee qu'une pareille publication est un outrage à la religion e l'état et aux autres cultes chrétiens viole-t-il aucune loi? ég: 275.
RIER. Un jugement qui, sur l'affirmation du maître que ce- -ci a fait à son ouvrier des avances n'excédant pas le sa- aire de l'année courante, condamne cet ouvrier à les payer, eut-il être infirmé par le motif que la demande du maître 'est pas suffisamment vérifiée, et qu'elle est dépourvue d'un ommencement de preuve par écrit ? Nég. 552. Voy. Trésor.
EMENT. Celui qui a volontairement payé à un créancier le bonne foi une somme qu'il avait pris l'obligation d'ac- [uitter, et à laquelle il a été reconnu plus tard qu'un ‘au- re avait un droit acquis, est-il fondé à la répéter contre e créancier, lorsqu'il est prouvé qu'à l'époque où il a ef- ectué le paiement, il connaissait le droit de celui à qui il 1 été condamné à payer de nouveau? Nég. 24. Voy. - Preuve testimoniale.
¿TAGE. L'acte par lequel les copropriétaires indivis d'un mmeuble font cesser. l'indivision entre eux est-il un véri- able acte de partage, non sujet au droit additionnel de ranscription prescrit par les art. 52 et 54 de la loi du 28 avril 1816? Aff. En est-il autrement dans le cas où un tiers, s'étant rendu acquéreur ou cessionnaire des droits Tome IIIe de 1827. Feuille 40.
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