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C'est la valeur cherchée du coefficient de a' dans le développement du polynome, lorsque sa puissance s est très-élevée.

Cherchons maintenant la somme de tous ces coefficiens, depuis celui de a- 'inclusivement, jusqu'à celui de a' inclusivement, létant un grand nombre, mais d'un ordre inférieur à s. Pour cela, nous observerons que l'on a par le n° 10,

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dy

() + + etc.
etc.}

dy

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+ etc.

dl

Σ.y1=fy1.dl—}•y++ etc.+constante.

En prenant l'intégrale depuis le terme correspondant à 7 nul inclusivement, on aura la somme des valeurs de y depuis cette origine jusqu'au terme y exclusivement. La constante arbitraire sera égale alors à¦.y..etc.; ainsi la somme des valeurs y, depuis nul inclusivement jusqu'à y, inclusivement, sera

de

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alors les différences de y, seront successivement d'un ordre inférieur les unes aux autres; en ne considérant donc que les trois premiers termes de la série précédente, on aura

fy.dl.y.+.y1

pour la somme des coefficiens des termes du développement de la puissances du polynome, depuis nul inclusivement jusqu'à 7 inclusivement. En doublant cette somme, et en retranchant de ce double, le terme y., on aura pour la somme des coefficiens, depuis

celui du terme correspondant à a' inclusivement, jusqu'à celui du terme correspondant à a' inclusivement,

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37. Nous avons supposé dans les exemples précédens, que les équations aux différences en y,, n'avaient point de dernier terme ; donnons un exemple d'une équation jouissant d'un dernier terme, et pour cela, considérons l'équation aux différences

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p'x'..(1+x) —ƒ'x'. [(x+1). do + (i+1).qdx];

ce qui donne d'abord pour déterminer , l'équation

(1+x).do +(i + 1). dx = 0;

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l'intégrale étant prise depuis xo jusqu'à x =p. En ajoutant à

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l'intégrale étant prise depuis x nul jusqu'à x infini, et B étant une arbitraire; on aura pour l'intégrale complète de la proposée

x-1.dx

y=B. f(1+2)+(1+p)'⋅f (1+x)+1 ›

expression que l'on peut mettre sous cette forme

x-1.dx
(1+x)i+19

y1 = B' . f ====(1+p)' •f(1+)+

la première intégrale étant prise depuis x nul jusqu'à x infini, et la seconde étant prise depuis x=p jusqu'à x infini. Maintenant, l'intégrale de la proposée

est

p's,y,+ (si) · Y1+1

1.2.3....(-1)

Y;— i.(i—1). (i—2) .......... (i—s+1)

Q— §. i.(i—1). (i-—-3)...(i—s+1),p'),

Q étant une arbitraire, et Σ étant la caractéristique des différences

finies; ensorte que la fonction Σ.

égale à

i. (i—1). (i—2). .....(i—s+1)

1.2.3..

p' est

1 + ip+ i.(i.

i.(i—1) ̧p2....

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1.2

c'est-à-dire, à la somme des s premiers termes du binome (1+p)'. Si l'on compare cette expression de y, à la précédente, on aura

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Si l'on fait s 1 dans cette équation, et si l'on observe que le produit 1.2.3....(s—1) se réduit alors à l'unité, comme on l'a vu dans le n° 34; on trouve après les intégrations B'Q: ainsi B' étant une arbitraire, cette équation se partage dans les deux suivantes,

1.2.3....(-1)

x-1.dx

1.2.3.....(S-1)
=
i. (i—1).... (i—s+1) (1+x) i+19
i. (i—1)...(i—s+1)

dx

Σ

i. (i—1)... (i—S+1)

1.2.3...S

.

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l'intégrale du numérateur étant prise depuis x=p jusqu'à x infini ; et celle du dénominateur étant prise depuis x nul jusqu'à x infini. Lorsque s et i sont de grands nombres, il sera facile de réduire ces deux intégrales en séries convergentes, par les formules des nos 22 et 23. On aura ainsi la somme de s premiers termes du binome élevé à une grande puissance, par une approximation d'autant plus rapide, que cette puissance sera plus haute.

Si l'on effectue les intégrations, l'équation précédente devient

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Le second membre de cette équation est une transformation de la somme partielle des termes du binome (1+p), transformation qui peut être utile.

De l'approximation des différences infiniment petites et finies, très-élevées, des fonctions.

38. Considérons une fonction quelconque de z, que nous représenterons par (z). En y changeant z en zt, désignons par le coefficient de t dans le développement de cette fonction;

ys
nous aurons

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t étant supposé nul après les différentiations; et comme on a

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Ainsi la recherche de la différence sieme de (z), se réduit à développer la fonction (z+1) en série.

Supposons que cette fonction de t soit une puissance d'un polynome de t, que nous représenterons par

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y.+y..t+y..t....+y,.t'+etc.,

son développement en série; on aura, en prenant les différences logarithmiques,

μ.(b+2ct + etc.) y.+ 2y2.t....+sy,.+ etc.

=

a+bt+ct etc. yo+y1t+ya.t.....+y..t' + etc.'

Multipliant en croix, et comparant les termes multipliés par -,

on aura

a.s.y,+b.(s—1). y,-, +c. ( s − 2).y1+etc.
=μ.b.y11+ 2u.c.y+ etc.

Représentons par fx-4.dx, l'expression de y,; cette équation devient

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En égalant séparément à zéro, la partie de cette équation, affectée du signe intégral, on a

o=dp. (a + +-+etc.)+updx. (2/3+2+etc.);

ce qui donne en intégrant,

• = 4. (a + b + + etc.)",

A étant une constante arbitraire. La partie de l'équation précédente, hors du signe intégral, donnera ensuite pour déterminer les limites de l'intégrale,

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