INTERDICTION. Voy. Mineur. INTÉRÊTS. Voy. Femme. INTERPOSITION de personne. Voy. Enfant adultérın. J.. JUGEMENT. Rendu par un tribunal composé de trois juges JUGEMENT par défaut. Voy. Tribunal correctionnel. JUGE de paix. Voy. Arrété municipal, et Dernier ressort, L.. LÉGATAIRE. Voy. Héritier bénéficiaire, et Hypothèque. héritier légitime, actionné en délaissement des biens lé- gués, et auquel le testament et l'ordonnance d'envoi en possession ont été notifiés, déclare, seulement en cause d'appel, ne pas reconnaître l'écriture ni la signature du testateur, la vérification doit-elle être à la charge de l'hé- LEGS. Le legs d'un immeuble, fait à la charge par le léga- taire de payer, après sa mort, une somme ou une rente viagère à un tiers, avec assignat sur l'immeuble légué ou le prix en provenant, renferme -t-il une substitution prohibée? p. 177. eue qu'un legs fat préféré aux autres doit-elle, si elle n'a pas été formellement exprimée, résulter au moins bien clairement de la nature du legs et des circonstances? p. 488. — L'héritier bénéficiaire n'est-il tenu des intérêts des sommes dont il est détenteur que du jour où il a été constitué en demeure de présenter son compte? p. 488. LEGS particulier. Voy. Legs universel. LEGS universel. La disposition par laquelle un testateur, des deux autres faillites un dividende représentant la moi- - Voy. LOYERS. Le paiement par anticipation des loyers d'une mai- son constaté dans le bail même peut-il être opposé aux créanciers hypothécaires postérieurs à l'époque où ce bail a acquis date certaine? p. 215.-Un semblable paiement · est-il valable à l'égard des créanciers inscrits avant la pas- sation du bail, et qui ne viennent pas en ordre utile? p. 215. --M. MANDATAIRE. Voy. Compensation, et Rentes sur l'Etat.. MARCHÉ. Lorsque le commis-voyageur d'une maison de com- merce a vendu ou acheté des marchandises pour le compte de ses commettans, ceux-ci peuvent-ils être assignés de- vant le tribunal du lieu où le marché a été fait pour les contestations qui s'élèvent sur son exécution? p. 236. MARI. Le mari qui, par le contrat de mariage, a la fa- culté de vendre l'immeuble dotal, à la charge de remploi, a-t-il, par cela même, la faculté de l'échanger? p. 279. MARIAGE. Le mariage célébré par l'officier civil du domicile de l'une des parties, hors du territoire de sa commune, est-il frappé d'une nullité absolue? p. 202. — Ce mariage peut-il être déclaré valable, s'il résulte des circonstances qui l'ont environné qu'il n'a pas été absolument privé des conditions de publicité et d'authenticité que la loi exige? Et quand une Cour royale, appréciant les faits, a pro- noncé la validité d'un pareil, mariage, l'arrêt de cette Cour est-il à l'abri de la cassation? p. 202. Le mariage contracté en pays étranger entre un beau-frère et une belle-sœur, tous deux français, et non naturalisés étran- gers, doit-il être annulé sur la demande du Ministère public, encore que les époux n'en fassent aucun usage pour régler leur état civil? p. 337. MINEUR. Peut-il être interdit dans l'intérêt de l'ordre public? Lorsque l'acceptation d'une donation faite à un mi- tuteur sans autorisation du conseil de famille, ne résulte- MINISTÈRE public. Peut-il agir par voie d'action hors les cas déterminés par la loi? p. 55. Lorsqu'un jugement a démis le Ministère public de sa demande en interdiction d'un notaire, la signification de ce jugement, par le pro- cureur-général, sans réserve et avec commandement de s'y conformer, rend-elle l'appel non recevable? p. 458. Lorsqu'un moyen d'incompétence qui aurait exigé l'audition du Ministère public n'a été proposé, ni en MOEURS. Voy. Débauche, N. NATURALISATION. Voy. Dénization. Noм. L'édit d'Amboise de 1555, contenant cette maxime de .condition que le legataire ajoutera à son nom le nom du testateur, et que ce légataire, au lieu d'obtenir du Roi l'autorisation de faire cette addition de nom, s'est contenté de faire rendre un jugement de rectification de son acte de naissance, le legs est-il caduc pour défaut d'accom- plissement de la condition imposée ? p. 574.. NOTAIRE. Un notaire qui a été acquitté par le jury d'une ac- cusation de faux peut-il être suspendu ou destitué de ses fonctions, à raison des faits mêmes qui faisaient l'objet de cette accusation? p. 374.- Le Ministère publie qui pro- voque la suspension ou la destitution d'un notaire peut- il, pour motiver cette mesure, présenter à l'audience des griefs qui n'auraient point été exprimés dans l'assignation? p. 374. Les clercs d'un notaire doivent-ils être consi- dérés comme ses mandataires tacites, surtout s'il s'agit tus, devoir être faites en son étude; en conséquence, OBLIGATION. L'obligation notariée que souscrit le débiteur d'un effet de commerce, au profit du créancier qui en est porteur, donne-t-elle à l'action une durée de trente ans, encore bien que le créancier se soit réservé expressément le droit d'agir en vertu de l'effet de commerce, et par la voie d'exécution qui lui est propre? p. 311. OBLIGATION. Morale - Voy. Institution d'héritier. PARENTÉ. - Voy. Autorité royale. Voy. Arrét. P. PARTAGE. L'acte de partage avec soulte, passé entre deux copropriétaires d'immeubles achetés et possédés en com- mun, peut-il être considéré comme une vente et assujetti au droit de transcription? p. 164. Lorsque les héritiers d'une femme qui a légué à son mari une portion de ses biens renoncent, en faveur de ce dernier, à l'usufruit de tout ce qui leur revient dans la succession, et que, de son côté, le mari renonce à la nue propriété des biens qui lui ont été légués, ne doit-on voir là néanmoins qu'un par- tabe et non un échange, passible du droit proportionnel d'enregistrement? p. 197. Lorsque, dans un acte de partage, le père d'enfants mineurs âgés de moins de dix- huit ans consent, au nom de ces derniers, des abandons qui peuvent avoir pour résultat de restreindre la jouis- sance légale qui lui est accordée par l'art. 384 du Code ci- vil, ces abandons doivent-ils être considérés comme ren- fermant une libéralité; et, en conséquence, est-il dû le droit proportionnel de donation? p. 197. Lorsqu'il a été consommé sans intervention ni opposition de la part des créanciers de l'un des partageans, ces créanciers peu- vent-ils attaquer ce partage comme fait en fraude de leurs PASSAGE. Le passage accordé par la loi au propriétaire d'un |