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Selon M. Grégoire, on ne s'était presque pas occupé des abeilles, en France, avant Olivier-de-Serres. Il est le premier, dit ce savant, qui en ait parlé en détail, et ce n'est qu'au milieu du 17° siècle qu'on publia des ouvrages sur ces insectes utiles. Cependant, en 1600, pendant qu'on imprimait pour la première fois le Théâtre d'agriculture, il parut un ouvrage sur les abeilles (V. N° 2), de Pierre Constant. (No 1, 2, 121, 312, 322, 478, 593, 608, 658, 691, 735, 739, 765, 766, 768, 825, 855, 896, 940, 944, 994, 1030, 1034, 1125, 1136, 1195, 1196, 1296, 1302, 1320, 1321, 1326, 1363, 1377, 1387, 1402, 1407, 1495, 1527, 1532, 1553, 1686, 1733, 1744, 1752, 1790, 1830, 1831, 1832, 1841, 1842, 1885, 1886, 1887, 1915, 1939, 1968, 1979.)

Acacia (le faux ) ou Robinier, fut apporté du NouveauMonde, en France, en 1600, par Jean Robin, professeur de botanique.

Cet arbre vient naturellement dans l'Amérique septentrionale: il y_croît promptement, et y sert à beaucoup d'usages. La culture de l'acacia a fait beaucoup de progrès en France. On s'est livré à des essais heureux en général; cependant quelques propriétaires trouvent qu'il casse facilement. (N° 371, 1383, 1419, 1993.)

Administration d'un bien rural. Il ne suffit pas de savoir bien cultiver, il faut encore faire un emploi sagement ordonné des produits de ses récoltes. Sous ce rapport, la culture n'est qu'une partie de l'administration, puisqu'il résulte de celle-ci les moyens d'améliorer celle-là. (N° 98, 595, 645, 792, 802, 857, 858, 926, 1534, 1658, 1905.)

Administration en général. (No 1244, 1712.)

Agriculture ancienne. Outre les ouvrages de Caton, Columelle et des Géoponiques anciens, qui montrent que l'agriculture était honorée chez les anciens, il y a plusieurs ouvrages écrits ex-professo sur cette matière. (Nos 657, 753.)

Agriculture anglaise. L'agriculture passe pour être en Angleterre dans un état florissant. Les ouvrages volumineux d'Arthur Young, de Marshall, de Miller, celui

de Tatham, etc., ne laissent, en effet, aucun doute
sur cette assertion. M. Pictet publie, dans ce moment,
un Cours d'agriculture anglaise, qui n'est pas encore
achevé. (N° 91, 1798, 2044.)

Agriculture d'Egypte. (No 274. )

Agriculture d'Italie. (N° 181, 930, 1703, 1801, 1808.)
Agriculture de Pologne. (N° 1264.)

Agriculture de Suisse. (No 2055.)

Agriculture en général. Nous indiquons ici les ouvrages
qui traitent de l'agriculture considérée sous un point
de vue général, et ceux qui renferment les différentes
parties dont cet art est composé. (Nos 19, 20, 21, 22,
23, 25, 26, 28, 29, 30, 32, 33, 34, 38, 97, 117,
129, 153, 155, 158, 159, 170, 182, 184, 185, 187,
188, 189, 194, 199, 217, 218, 229, 231, 232, 234,
235, 247, 283, 284, 285, 286, 290, 291, 301, 302,
303, 307, 308, 319, 320, 328, 329, 331, 332, 344,
345, 346, 349, 352, 353, 360, 361, 368, 376, 380,
384, 385, 407, 458, 461, 466, 473, 484, 490, 529,
537, 559, 560, 561, 562, 563, 564, 565, 577, 581,
594, 596, 597, 598, 614, 638, 647, 648, 651, 725,
727, 728, 729, 730, 736, 787, 801, 827, 850, 851,
854, 911, 913, 970, 1004, 1087, 1089, 1250,
1264, 1276, 1289, 1361, 1371, 1372, 1404, 1418,
1263,
1428, 1432, 1538, 1617, 1628, 1629, 1704, 1706,
1848, 1849, 2050.)

Agriculture française. Honorée ou négligée à différentes
époques, suivant les guerres civiles ou étrangères, elle
paraît avoir fait beaucoup de progrès depuis quelques
années, et jouir de l'attention qu'elle mérite. (N° 72,
73, 74, 288, 362, 411, 412, 441, 470, 479, 719,
720, 731, 776, 1088, 1121, 1275, 1454, 1460, 1807.
1816, 1817, 1850, 1954, 2045, 2046, 2052, 2053.)
Ajonc ou Genét épineux. Arbuste maudit par ceux qui
ne savent pas qu'on peut tirer parti de toutes les pro-
ductions; il fait de bonnes clôtures, et est employé
utilement pour nourrir les bestiaux pendant l'hiver.
(N° 1122.)

Amandier. Arbre que les uns croyent venu de Barbarie ;
tandis que les autres le font originaire de l'Asie. Il pros-

père difficilement dans les climats tempérés. ( No 512, 513.)

Amélioration. Par une erreur malheureusement trop générale, on aime mieux agrandir l'étendue de son bien, que d'améliorer l'espace que l'on cultive; il en résulte une culture quelquefois mal entendue et souvent médiocre. (N° 47, 54, 599, 600, 643, 653, 1011, 1058, 1060, 1090, 1091, 1156, 1251, 1286, 1290, 1473, 1480, 1537, 1594, 1689, 1691, 1788, 1854, 1980, 2069.)

Animaux nuisibles à l'agriculture. Après les insectes qui rongent les plantes, les blés, les vignes; les lapins sont les animaux qui font le plus de dégâts. Voyez Insectes. (N° 842 ̊, 1316, 1317.)

Apocin. Cette plante a été apportée du nord de l'Amérique où on la prépare comme le chanvre. (N° 594, note.) Arachide ou Pistache de terre. Plante légumineuse, originaire d'Afrique, et cultivée dans le midi de la France. Son fruit se mange. (N° 1855. )

Arbre cirier. Ainsi nommé parce qu'autour de ses graines se trouve la cire végétale. Il est indigène en Amérique. Il y en a une espèce acclimatée en France qui croît à la hauteur du lilas. Pendant l'impression de cette Bibliographie, M. Tiébaut-de-Berneaud a publié un mémoire instructif sur cet arbre qu'il a cultivé. (No 1175. ) Arbres nains. Il y en a de deux espèces. La première est l'effet de la taille, la seconde est un jeu de la nature. (N° 12.)

Arbres d'ornement. Ils sont en grand nombre. Le caprice fait souvent donner injustement la préférence à des plantes exotiques, qui ne valent pas plusieurs de celles qui croissent sur notre sol, et qui, pour cette raison, ont peu de prix. (N° 629.)

Arbres verds. On appelle ainsi ceux qui conservent leurs feuilles pendant l'hiver. (N° 1753, 1920, 2025. )

(Même ouvrage sous les deux Nos 324, 1518.) 'Arbres à épiceries. (N° 941.)

Arbres. La culture des arbres fruitiers assujétie à des principes réguliers, ne paraît dater que du siècle d'Auguste. On croit qu'avant cette époque on se contentait de

plein-vents, d'espèces peu perfectionnées, greffées sur des sauvageons.

Les arbres les plus anciennement et les plus généralement cultivés, sont ceux qui fournissent le plus de variétés. (N° 6, 27, 88, 130, 171, 271, 299, 325, 326, 386, 617, 721, 722, 804, 807, 876, 895, 978, 1311, 1312, 1350, 1363, 1386, 1443, 1550, 1551 1735, 1813, 1814, 1843, 1869, 1870, 1871, 1918, 1919, 1947.)

"Arbres de nos forêts. (No 1917, 1973.)

Arbres étrangers (en général). (No 1368.)
Arbustes d'agrément. (N° 1472.)

Argiles. Mélange de plusieurs terres si intimement combinées, qu'elles forment un tout homogène. On peut améliorer un sol argileux, en ajoutant une substance propre à le diviser. (N° 1197.)

Arpentage. Mesurage des terres par arpent: opération que tout cultivateur doit savoir faire. Les variations qu'il y avait dans les mesures étaient une absurdité que la routine et l'ignorance défendent encore. (Nos 93, 132, 999, 1166, 1254, 1364, 1381, 1565, 1754.) Art de faire éclore les poulets. Se pratiquait dans l'ancienne Egypte. M. de Réaumur s'est livré à beaucoup d'expériences pour naturaliser cet art. (N° 1499, 1560.) Art vétérinaire. Végèce a fait prévaloir ce mot sur celui d'hippiatre. En 1761, un arrêt du conseil permit à Bourgelat d'établir à Lyon une école vétérinaire. Cet artiste célèbre ouvrit, l'année suivante, un Cours auquel assistèrent des étrangers envoyés par les rois de Suède, de Prusse, de Danemarck, et par les Cantons suisses. En 1764, on appela cette école l'Ecole royale. En 1765, le château d'Alfort, à Charenton, près de Paris, fut acheté pour y recevoir une seconde école. En 1769, chaque régiment de cavalerie y envoya un sujet pour être instruit. Cet établissement n'a rien perdu de son importance, ni de sa réputation.

Médecine vétérinaire On appelle vétérinaires les médecins des animaux. Les chevaux, les mulets et les bœufs étaient nommés par les latins (veterini ou ad vecturam idonei), propres aux transports. (N° 45, 84, 87, 94, 150, 151, 457, 459, 474, 509, 568,

569, 688, 699, 726, 737; 744, 754,797, 798, 799, 819, 820, 829, 834, 843, 844, 848, 853, 928, 966, 1040, 1041, 1042, 1047, 1048, 1049, 1051, 1052, 1053, 1351, 1353, 1355, 1360, 1362, 1605, 1763, 2026.)

Arts économiques. Ainsi nommés parce qu'ils ont exclusivement pour objet l'économie domestique. (N° 639, 650.)

Asperge. Plante indigène, qui fournit un des meilleurs légumes et des plus sains. (No 310, 311.)

Assainissement. Opération par laquelle on donne un écoulement aux eaux croupissantes. Elle a un double objet d'utilité, la santé de l'homme et la culture. (N° 1135.) Assolemens. Succession de cultures. L'expérience a prouvé qu'en remplaçant les plantes à racines pivotantes par celles à racines fibreuses, le sol conservait sa fertilité. M. Ivart a fait un traité complet des assolemens. Il offre, et les résultats de sa propre expérience, et les observations des autres.

Tarello proposa le premier d'alterner les cultures. Ce fait se trouve dans un livre imprimé à Venise en 1567. (Ricordo d'agricoltura. ) ( N° 1921.) Atmosphère. Masse de fluides qui environnent la terre. Leur influence sur la végétation est reconnue généralement. (Nos 339, 687, 1612, 1613.) Aunis (agriculture de l'). (N° 1279.)

B.

Bail à ferme. Contrat par lequel on donne une terre à ferme. Tout propriétaire devrait se mettre au fait des conditions et clauses d'un bail, afin de prévoir les procès. (Nos 251, 1066.)

Bail à cheptel. Bail de bestiaux, dont le profit doit ordinairement se partager entre le preneur et le bailleur. Quelquefois il y a d'autres conditions que celle du partage. (N° 1065, 1974, 2077.)

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Baromètre. Instrument qui sert à faire connaître la pesanteur de l'atmosphère. Il remplit cet objet, et l'instrument n'est pas trompeur: mais nous avons conclu que tel

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