Nouveau dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, Nide 28Sigismond Jaccoud Baillière, 1880 |
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abcès accidents affections aiguë anatomiques assez blessure bronches bronchique bronchite broncho-pneumonie cachexie caractères cause cavité pleurale Charcot chronique clinique cœur colique complication compression congestion considérable costale côté début développement diagnostic diaphragme dilatation douleur dyspnée épanchement fausses membranes fibrine fièvre forme fréquemment gangrène général globules globules rouges granulations Grisolle guérison hémorrhagies hépatisation inflammatoires intense intercostaux jaborandi kyste l'acide l'auscultation l'épanchement l'état l'inflammation lésions leucocytes liquide lobe lobulaire maladie matité méd médiastin ment muscles observations organes paralysie parfois paroi thoracique pathologique peau percussion péricardite période peuvent phénomènes phlegmasie phthisie pilocarpine pityriasis placenta plaie pléthore pleurésie pleurésie purulente plèvre plomb pneu pneumonie pneumonie lobaire pneumothorax poitrine pouls poumon présente produit projectile pulmonaire quantité quelquefois râles crépitants rare région respiration respiratoire sang sanguin séreuse seulement siége signes physiques souffle souvent spéciale sternum suivant sulfure suppuration surface surtout symptômes tantôt température thoracentèse tion tissu conjonctif toux traumatique trocart tuberculeuse tuberculose tumeurs vaisseaux villosités
Suositut otteet
Sivu 199 - Paris, on abandonne volontiers le pleurétique à lui-même; on laisse trop platoniquement l'épanchement s'opérer ; on néglige trop les émissions sanguines. Si, pour les citadins, dont l'organisme n'a pas la vigueur, ni le sang la richesse de ceux des campagnards, on ne peut pas toujours avoir recours à la saignée générale, au moins doit-on commencer le traitement par une application de ventouses scarifiées ou de sangsues, en nombre proportionné à la force du malade et à l'intensité...
Sivu 169 - ... volume de moitié moindre que ceux du côté opposé. La différence des deux côtés est si frappante, qu'au premier coup d'œil on la croirait beaucoup plus considérable qu'on ne la trouve en la mesurant.
Sivu 164 - ... sain. 4° La pleurésie n'élève pas seulement la température pariétale du côté où elle siège, elle l'élève également du côté opposé ; mais la température pariétale du côté malade est toujours plus élevée (de quelques dixièmes de degré à 1° et même davantage) que la température pariétale du côté sain.
Sivu 169 - Ils ont l'air d'être penchés sur le côté affecté, lors même qu'ils cherchent à se tenir droit. La poitrine est manifestement plus étroite de ce côté, et si on la mesure avec un cordon, on trouve souvent plus d'un pouce de différence entre son contour et celui du côté sain. Son étendue en longueur est également diminuée ; les côtes sont plus rapprochées les unes des autres ; l'épaule est plus basse que du côté opposé ; les muscles et particulièrement le grand pectoral présentent...
Sivu 556 - Les hémorrhagies siègent presque toujours aux parties postérieures et inférieures des poumons, où les noyaux recouverts par la plèvre, ont l'aspect d'une masse noire et indurée. Le nombre de ceux-ci est très- variable...
Sivu 463 - ... intense, qui n'est explicable par aucune phlegmasie locale. M. Andral, qui a observé des cas semblables, dit avec beaucoup de raison qu'il n'ya alors aucun travail inflammatoire bien dessiné, mais que partout il ya tendance à sa production ; pour peu que cet état se prolonge, on verra, en effet, naître diverses phlegmasies, suivant les prédispositions individuelles et la susceptibilité variable des organes. M. Piorry croit, et cela sans...
Sivu 164 - Un fait des plus intéressants, c'est que l'élévation absolue de la température locale, du côté malade, est plus considérable que l'élévation absolue de la température axillaire, bien que le chiffre thermique axillaire puisse être plus fort que le chiffre thermique pariétal. Cette hyperlhermie locale précède l'hyperthermie axillaire.
Sivu 546 - On distingue très bien à sa surface les interstices celluleux qui séparent les lobules. » Sa couleur est , en général , d'un rouge violet; mais elle peut devenir noirâtre quand le sang qui l'engorge est en plus grande abondance.
Sivu 749 - Dans le goulot d'un vase quelconque vient s'adapter un bouchon en caoutchouc, traversé au centre par une tige creuse métallique à double conduit communiquant avec le récipient. A sa partie supérieure, elle se bifurque en deux branches munies chacune d'un robinet E et D qui, suivant la direction qu'on leur donne, permettent à l'air d'être extrait par la pompe A, et au liquide d'entrer dans le récipient par le robinet B qui communique avec le trocart au moyen d'un tube en caoutchouc dont l'extrémité...
Sivu 1 - ... le nombre total des poils qui végètent à la surface du corps est à peu près le même aux divers âges, dans les deux sexes, chez tous les individus, et probablement aussi dans toutes les races humaines; mais le nombre de ceux qui passent de leur première à leur seconde période est trèsvariable 2.