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Sivu 26 - D'avoir besoin d'un terrain moins étendu pour nourrir une même quantité de vers à soie. » » 3.° De pouvoir , dans le cours d'une année à l'autre, faire ces semis , jouir de leur produit et abréger par-là l'intervalle qui s'écoule entre la plantation du mûrier et le temps où il donne sa récolte. » » 4.° De pouvoir mettre les jeunes plantes à l'abri de la pluie au moyen d'une banne en toile , que l'on change de place à volonté. » » 5.° Il est vrai que la soie provenant de la...
Sivu 77 - C'était précisément l'époque où vous conçûtes le projet de donner une grande impulsion à la culture du mûrier et à l'éducation du ver à soie , non seulement sous votre ciel , mais encore dans un grand nombre de départemens situés sous une latitude plus septentrionale.
Sivu 21 - ... la muscardine ; les ayant divisés en deux quantités égales , je mis en contact avec ces cadavres un pareil nombre de vers parfaitement sains qui venaient d'achever leur quatrième mue. Les premiers furent placés dans une chambre où ils ne recevaient aucune sorte de fumigation ; .les seconds , que j'avais placés sur un tamis de soie , recevaient l'action continue du chlorure de chaux étendu d'eau qui se dégageait d'une capsule dont le (amis recouvrait exactement l'orifice.
Sivu 18 - Ces moyens ne consistent pas seulement dans le choix de la feuille du mûrier, dans l'ordre des repas, et la quantité de nourriture appropriée à chaque période de la vie de ces insectes, dans une température convenablement graduée et dans l'espace progressif qu'on doit leur faire occuper, à mesure qu'ils se développent; ils consistent plus encore dans les soins nécessaires pour les préserver...
Sivu 22 - ... malades et abandonnés au seul air atmosphérique , périrent sans exception de la muscardine , tandis que ceux exposés à l'influence du chlorure sec , différèrent de trois jours de contracter cette affection et ne moururent qu'après avoir formé leurs cocons. » » De tels résultats me paraissent assez remarquables pour fixer l'attention des éducateurs de 'vers à soie , et les déterminer à employer le chlorure de chaux à l'assainissement de leurs...
Sivu 137 - Ce botaniste naquit , le 17 novembre 1765, à Moretta , petite ville de Piémont. Son père était un médecin estimé, qui exerçait dans son canton une magistrature municipale. Il fit à Turin ses études, y compris ce qu'on appelle encore les humanités et la philosophie. Les contemporains de sa jeunesse se rappellent combien il était chéri et ,en quelque sorte , respecté par ses nombreux condisciples. Nul n'était si prudent et plus jovial , si sage et d'une humeur plus douce, plus agréable....
Sivu 143 - Ces ébauches ne furent pas inutiles à Balbis , et il trouva d'autres secours , peut-être plus puissans, dans les riches collections et les connaissances locales des botanistes Lyonnais qui étaient réunis autour de lui et dont il avait redoublé l'ardeur (i).
Sivu 31 - UUTS métaux anguleux, pointus, tombent dans le rumen; ils s'y fixent; d'autres vont s'implanter dans les cellules du réseau , dans les lames du feuillet, sans que l'animal paraisse s'en apercevoir. On ouvre le rumen avec un couteau , et l'ouverture est assez grande pour introduire le bras, afin d'aller chercher les alimens avalés ; on jette des breuvages par cette fenêtre , et on la ferme à volonté. On raconte qu'un paysan qui, comme tant d'autres, exerçait l'art vétérinaire , ayant ouvert...
Sivu 44 - Le fils de l'un des commissaires, M. Lecocq, se trouvant attaché à l'enseignement de l'école à laquelle j'ai l'honneur d'appartenir , j'ai dû lui demander des renseignemens. Je n'eusse pu mieux m'adresser : pendant trois ans , il a été employé , en qualité de médecin vétérinaire , à la grande ferme de l'Epine, où il a vu commencer l'usage des soupes de fourrage. Raisonnant d'après la théorie que j'ai combattue dans le présent mémoire £ nécessité des alimens d'une certaine consistance...
Sivu 47 - Une boite de foin servait d'étendard aux fondateurs de Rome., et il est question d'herbe fanée pour la nourriture des bœufs dans le plus ancien comme le plus vénérable des livres. Quant aux chevaux , ils étaient nourris , comme ils le sont encore en Orient , d'orge et de paille. Ce n'est que dans les temps modernes , et en Europe , qu'on s'est avisé de nourrir , comme les vaches , un animal svelte , élastique, plein d'élégance.

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